" C dans l'air "
Pour les contribuables locaux, la facture s’annonce salée pour 2009 : la taxe d’habitation devrait progresser de 5,4 % et celle de l’impôt foncier de 6,4 % en moyenne. Des chiffres qui cachent de fortes disparités suivant les communes, les régions ou les départements.
Aucune baisse, quelques stagnations et de véritables flambées : les feuilles d’impôts locaux qui arriveront en octobre prochain dans les boîtes aux lettres devraient offrir quelques mauvaises surprises aux contribuables.
Selon une enquête réalisée par le Forum pour la gestion des villes et des collectivités territoriales, publiée mercredi 8 avril dans le quotidien Les Echos, la taxe d’habitation devrait progresser en 2009 de 5,4 % et celle sur le bâti foncier de 6,4 % en moyenne dans les quarante plus grandes villes de France.
En tête du peloton, Nice, où les habitants devraient connaître une des taxes d’habitation les plus élevées avec 1 164 euros pour un foyer fiscal type, après une augmentation de 17,7 % ; tandis que les Parisiens, à raison d’une contribution moyenne de l’ordre de 395 euros, devraient être cette année encore les mieux lotis, malgré une augmentation de 11,7 %. Quant à l’impôt foncier, il explose dans la capitale (+47,7 %) et croît dans bon nombre de villes comme à Nice (+16,5 %), Argenteuil (+12,6 %) ou Grenoble (+12 %).
Schéma classique au lendemain d’une année électorale, la hausse des impôts locaux prend cette fois une ampleur considérable. En cause : la crise immobilière qui a un effet direct sur les recettes des villes et des départements puisqu’ils perçoivent une part des droits de mutation, mieux connus sous le nom de "frais de notaire".
Pour les contribuables locaux, la facture s’annonce salée pour 2009 : la taxe d’habitation devrait progresser de 5,4 % et celle de l’impôt foncier de 6,4 % en moyenne. Des chiffres qui cachent de fortes disparités suivant les communes, les régions ou les départements.
Aucune baisse, quelques stagnations et de véritables flambées : les feuilles d’impôts locaux qui arriveront en octobre prochain dans les boîtes aux lettres devraient offrir quelques mauvaises surprises aux contribuables.
Selon une enquête réalisée par le Forum pour la gestion des villes et des collectivités territoriales, publiée mercredi 8 avril dans le quotidien Les Echos, la taxe d’habitation devrait progresser en 2009 de 5,4 % et celle sur le bâti foncier de 6,4 % en moyenne dans les quarante plus grandes villes de France.
En tête du peloton, Nice, où les habitants devraient connaître une des taxes d’habitation les plus élevées avec 1 164 euros pour un foyer fiscal type, après une augmentation de 17,7 % ; tandis que les Parisiens, à raison d’une contribution moyenne de l’ordre de 395 euros, devraient être cette année encore les mieux lotis, malgré une augmentation de 11,7 %. Quant à l’impôt foncier, il explose dans la capitale (+47,7 %) et croît dans bon nombre de villes comme à Nice (+16,5 %), Argenteuil (+12,6 %) ou Grenoble (+12 %).
Schéma classique au lendemain d’une année électorale, la hausse des impôts locaux prend cette fois une ampleur considérable. En cause : la crise immobilière qui a un effet direct sur les recettes des villes et des départements puisqu’ils perçoivent une part des droits de mutation, mieux connus sous le nom de "frais de notaire".