Les mots ont un sens
Le Capitalisme : c’est un système économique dans lequel l’immense majorité de la population crée des richesses qui vont faire le profit de quelques uns. Ce système fonctionne grâce à une mécanique que les marxistes nomme «exploitation». Il est basé sur l’extorsion de la plus-value (valeur ajoutée créée par les travailleurs) par les patrons.
Le libéralisme, c’est une phase particulière, mais logique, du capitalisme. Une phase durant laquelle le Capitalisme a accru ses profits d’une manière exponentielle par la globalisation à outrance, l’autonomisation de la sphère financière, la dérégulation de tous les services publics. la stagnation/baisse des salaires reversés
Etre antilibéral c’est être opposé aux excès du Capitalisme. C’est déjà un sacré progrès par rapport à ceux qui sont au service pur et dur du libéralisme. Il y a 2 problèmes à en rester à l’antilibéralisme :
1) à partir de quand y-a-t-il excès ? Ce qui veut dire que par souci de «réalisme» on accepte que telle ou telle mesure soit acceptable. C’est comme cela que la gauche se retrouve à appliquer des mesures libérales qui de non-excessives, deviennent excessives.
2) Et, mettons qu’à un instant donné tous les excès soient gommés, la logique capitaliste serait encore là et dès qu’on baisserait la garde, ça recommencerait. D’où des combats sans fins dans lesquels tout le monde s’épuise.
L’Etat c’est l’organisation utilisée par le Capitalisme pour « masquer » l’exploitation et détourner les affrontements. L’Etat met en place différents moyens pour cela : la répression, l’idéologie, institutions qui ont seulement un vernis démocratique. L’Etat est toujours au service des possédants et ses structures visent à maintenir cet état de fait.
nb : en cours d'amélioration avec le comité dans son ensemble
Le Capitalisme : c’est un système économique dans lequel l’immense majorité de la population crée des richesses qui vont faire le profit de quelques uns. Ce système fonctionne grâce à une mécanique que les marxistes nomme «exploitation». Il est basé sur l’extorsion de la plus-value (valeur ajoutée créée par les travailleurs) par les patrons.
Etre anticapitaliste c’est tout simplement vouloir :
que les richesses créées par l’immense majorité de la population reviennent à ceux qui les ont créées
que cette majorité gère elle-même ces richesses (utiles et produites avec un souci du maintien des ressources de la planète) au profit de la collectivité.
Cela implique la nécéssité d’un projet de société alternatif : le socialisme véritablement démocratique (et non la caricature réalisée dans les pays de l’est et d’extrème orient)…
Le libéralisme, c’est une phase particulière, mais logique, du capitalisme. Une phase durant laquelle le Capitalisme a accru ses profits d’une manière exponentielle par la globalisation à outrance, l’autonomisation de la sphère financière, la dérégulation de tous les services publics. la stagnation/baisse des salaires reversés
Etre antilibéral c’est être opposé aux excès du Capitalisme. C’est déjà un sacré progrès par rapport à ceux qui sont au service pur et dur du libéralisme. Il y a 2 problèmes à en rester à l’antilibéralisme :
1) à partir de quand y-a-t-il excès ? Ce qui veut dire que par souci de «réalisme» on accepte que telle ou telle mesure soit acceptable. C’est comme cela que la gauche se retrouve à appliquer des mesures libérales qui de non-excessives, deviennent excessives.
2) Et, mettons qu’à un instant donné tous les excès soient gommés, la logique capitaliste serait encore là et dès qu’on baisserait la garde, ça recommencerait. D’où des combats sans fins dans lesquels tout le monde s’épuise.
L’Etat c’est l’organisation utilisée par le Capitalisme pour « masquer » l’exploitation et détourner les affrontements. L’Etat met en place différents moyens pour cela : la répression, l’idéologie, institutions qui ont seulement un vernis démocratique. L’Etat est toujours au service des possédants et ses structures visent à maintenir cet état de fait.
nb : en cours d'amélioration avec le comité dans son ensemble